samedi 21 février 2009

Elo en Thaïlande

Elodie, "ma blonde" comme on dit ici, est Thaïlande depuis deux semaines. Elle travaille à la frontière Birmane, comme responsable de projet pour une ONG française qui a mis en place des centres hospitaliers à l'intérieur des camps de réfugiés. Je la rejoindrai là-bas après mon expérience canadienne.

Dans son blog, elle partage sa vie dans cet endroit très isolé dans les montagnes et ses dilemmes sur son travail.

Les dilemmes de l'humanitaire

Le jour de mon arrivée, je monte dans la voiture Aide Médicale Internationale qui m'amènera dans ma montagne. A l'arrière du pick-up, un enfant de trois ans est à demi conscient et sous oxygène. Sa maman s'affaire pour qu'il se sente le 'moins mal' possible durant les trois heures de route de montagne que nous allons parcourir. L'enfant et la maman rentrent au camp après un séjour à l'hôpital thaï. Notre organisation "réfère" en effet les cas les plus graves qui ne peuvent être traités dans nos hôpitaux des camps.

Sur la feuille qui accompagne l'enfant, il est écrit "back to camp". A priori, je me dis que cet enfant n'a pas l'air très en forme et je me demande pourquoi on le renvoie. Je tente de me rassurer en me disant que la médecine est un métier, que ce n'est pas le mien et que si on le renvoie chez lui c'est qu'il va mieux. Et bien, non.

> La suite sur http://elo-thailande.blogspot.com


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